L'inclusion numérique des personnes handicapées au Québec
Ce rapport traite de l'expérience réelle des personnes handicapées. D'abord, les auteurs situent le sujet dans une problématique plus vaste : celle du handicap et de l'inclusion numérique. Constatant un manque de données sur l'expérience et la réalité, ils s'interrogent sur les moyens qui permettent de considérer l'humain dans l'inclusion numérique.
Ce guide vise à aider les enseignants à mieux accompagner les élèves ayant des besoins particuliers. On y trouve une définition des troubles les plus rencontrés comme la dyslexie, les manifestations liées à ces troubles, et leurs répercussions sur les apprentissages.
Cet article examine la question de l'intégration totale des élèves à besoins spéciaux versus une classe pour les élèves en difficulté, avec une référence à une affaire ontarienne qui a abouti devant la Cour suprême du Canada.
Le nombre grandissant de personnes touchées par l’incapacité s’ajoute à des défis auxquels les réseaux d’accueil (éducation, services de santé) doivent faire face. Des nouvelles orientations politiques adoptées pour apporter des réponses ont entraîné une nouvelle philosophie, caractérisée par une plus grande ouverture sur la collaboration.
L’auteur commence en brossant un portrait de l’incapacité. Elle peut être de nature physique, intellectuelle, sensorielle ou psychologique. Les incapacités physiques sont celles qui nuisent à la mobilité et à la dextérité d’une personne. Elles incluent aussi les problèmes de santé chroniques, comme l’asthme. Dans la section suivante, l’auteur introduit aux difficultés des familles d’enfants ayant des incapacités.
Les auteurs ont constaté que, au Canada et dans les provinces, la majorité des enfants handicapés fréquentent une école ordinaire, et le quart d’entre eux sont intégrés à des classes adaptées. Seule une minorité est inscrite à une école spécialisée.
Le placement scolaire soulève bien souvent la controverse. En effet, les élèves ayant une incapacité sont-ils mieux dans un contexte inclusif leur permettant de rester avec les autres élèves ? Ou bien, sont-ils mieux en contexte spécialisé où les services adaptés sont plus faciles à fournir, en compagnie d’élèves ayant des défis similaires ?