Rapport méthodologique et analyse chronologique – Résumé
Le présent document décrit les approches méthodologiques exploitées pour développer une mesure statistique en vue d'estimer le degré de préparation à l'école des enfants canadiens d'âge préscolaire, et l'information fondée sur une analyse des statistiques pertinentes des provinces pour les années 1998, 2000, 2002 et 2004.
Le Groupe d'étude canadien sur les finances sociales a été créé en 2010 afin d'identifier les possibilités de mobiliser des capitaux privés pour le bien collectif. La finance sociale est un mode de gestion du capital qui fournit des avantages sociaux ou environnementaux, ainsi qu'un rendement financier.
Les parents, les enseignants et les décideurs ont tous un intérêt à s'assurer que les enfants sont bien préparés quand ils commencent leur éducation formelle. Toutefois, les auteurs soulignent que le sens de l’expression par «prêt à apprendre» n’est pas aussi simple qu’il peut paraître à première vue.
Le présent rapport est une mise à jour du chapitre sur l’apprentissage chez les jeunes enfants contenu dans le document État de l'apprentissage au Canada : Pas le temps de s'illusionner, paru en 2007.
Les villes exercent un puissant attrait sur les Canadiens et les immigrants, qui sont très nombreux à s’y installer. L’approche Learning City (i.e. cité de l’apprentissage) offre un moyen de gérer les possibilités et les défis qui se présentent aux villes modernes. Cette stratégie reconnaît qu’un bien-être social et économique optimal est indissociable des conditions qui favorisent l’apprentissage tout au long de la vie pour tous.
Ce plan d'action regroupe un ensemble de mesures devant être mises en oeuvre sur un horizon de cinq ans en vue d'atteindre les objectifs fixés par la Loi visant à lutter contre la pauvreté et l'exclusion sociale. Il repose sur une démarche gouvernementale et intersectorielle qui associe tous les acteurs concernés.
L’objectif du Groupe d’étude du Premier ministre sur le secteur communautaire sans but lucratif est de conseiller le gouvernement sur la manière dont il peut développer un partenariat avec le secteur sans but lucratif qui renforce la capacité du secteur à fonctionner de manière efficace comme le troisième pilier du développement socioéconomique.